> > > > > Folie pure ! C'est nouveau ! Le retour des Sarassins
> > > > > MEME LA FORME DE LA CROIX SUR LES ENSEIGNES PHARMACEUTIQUES COMMENCENT À LES DÉRANGER !!!!
> > > > > > > > > ET QUOI ENCORE ???
> > > > > > > > > « Les pharmacies parisiennes bientôt obligées de décrocher leur enseigne en forme de croix ?
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> > > > > > > > > PARIS (NOVOpress) -
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> > > > > > > > > Une association maghrébine parisienne,Paris-Beurs-Cités, a adressé il y a une dizaine de jours une lettre à la mairie de Paris afin de
> > > > > demander que soient « progressivement supprimées des devantures des pharmacies les enseignes en forme de croix ».
> > > > > > > > > La conseillère technique du Cabinet de Bertrand Delanoë en charge des cultes, Ilda Vrospinos, a officiellement répondu que la demande
> > > > > allait être «examinée avec la plus extrême attention ». L'association, qui se présente pourtant comme « non confessionnelle » et entend
> > > > > « regrouper les jeunes Français issus de l'immigration maghrébine afin de les aider à trouver leur place dans une société encore largement
> > > > > discriminatoire » explique sa démarche par le fait que « ce symbole religieux ostentatoire, vestige d'une époque révolue où la religion
> > > > > catholique était omniprésente dans notre pays » est susceptible de «heurter la susceptibilité des croyants non chrétiens, mais aussi des
> > > > > personnes non ou antireligieuses » et « contrevient gravement au principe républicain de laïcité ». « Alors que la crise économique accroît
> > > > > les risques d'affrontements intercommunautaires, ces enseignes à forte connotation religieuse pourraient être ressenties par certains comme
> > > > > une forme de discrimination, voire comme une provocation », poursuit Paris-Beurs-Cités.
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> > > > > > > > > La demande pourrait bien aboutir si l'on en croit la réponse officielle de Mme Vrospinos, qui affirme dans la lettre qu'elle a adressée à
> > > > > l'association « comprendre pleinement [ses] préoccupations ».
> > > > > La conseillère indique qu'elle va « soumettre [sa] demande à Bertrand Delanoë qui, n'en doutez pas va l'examiner avec la plus extrême attention ».
> > > > > > > > > La conseillère technique précise également que le maire de Paris « qui a fait du "vivre ensemble" l'un des fondements de son engagement »,
> > > > > « est très attentif à la bonne entente entre communautés » et qu'il est « pleinement conscient du caractère néfaste de certains anachronismes ».
> > > > > > > > > Une dernière phrase lourde de menaces.